Kim Jae Sun
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Je suis né le 01/07/1991 en Corée du Sud. Mon père est un très grand homme d'affaires à Séoul et ma mère a été secrétaire jusqu'à ma naissance, après elle est devenue une mère au foyer pour s'occuper de moi, enfin quand elle n'accompagnait pas mon père pas dans les réceptions ou rendez vous pour le travaom. Mes parents n'ayant pas d'autres enfants, je devais être l'hérité de l'empire que mon père a bâti au fur et à mesure... Il a posé tout ses espoirs sur moi, mais s'il savait que j'en aurais strictement rien à faire de son héritage... 

Mon enfance n'était pas triste, mais je ne peux pas dire que j'étais heureux. Il a posé tous ses espoirs sur moi, mais s'il savait que j'en aurais strictement rien à faire de son héritage... 

À l'école j'étais un élève assez réservé et calme. J'aimais déjà la musique, et fredonner les chansons que j'entendais. Mes professeurs m'appréciaient beaucoup, et je dois reconnaître que j'aimais beaucoup ça, comme si j'essayais de compenser le manque de mes parents. J'apprenais vite surtout les langues comme le japonais et l'anglais. À l'école, j'étais un élève assez réservé et calme.

Vers l'âge de 6 ans, mes parents m'ont offert ma première guitare et des cours particuliers avec un professeur de musique très réputé. Très vite il a découvert que j'étais doué,lorsque j'étais près, il m'a fait jouer devant un public pour la première fois, et je me suis senti bien pour la première fois. Ensuite, mon professeur de musique à tout-fait pour que je m'améliore le plus vite possible, car je me suis confié à lui et je lui avais dit que le piano me plaisait également et donc mes parents se sont mis en tête de me faire apprendre cet instrument, en plus de la guitare, j'apprenais à chanter, car c'était une de mes passions, comme pour combler un manque.

À partir de 12 ans ça c'est dégradé. J'étais toujours bon dans mes études, mais clairement, je m'en fichais, sauf en ce qui concerne la musique et les langues. Et à la maison s'était pas mieux. Mes parents me reprochaient de ne pas m'intéresser plus que ça aux études, et de l’intéressé plus à mes amis et à bavarder. Mais bon comment leur dire que c'était pour moi le moment où je me sentais entouré par mes amis, par des gens qui m'aiment et puis mon père étant dans les affaires, les professeurs n'osaient pas trop me disputer, au risque d'avoir des problèmes avec lui.

À 15 ans, mon père à eu des soucis avec son travail, un de ses partenaires avait détourné de l'argent derrière son dos, et lorsqu'il à découvert ça il a tout fait pour le mettre en prison, mais il ne pensait pas qu'on allait m'enlever et torturer pour que mon père donne l'argent et ainsi l'empire qu'il avait construit. Et pourtant... Son associé a payer un type pour m'enlever et demander une très grosse rançon à mon père, ce que ce dernier à refuser de faire, et le type m'a torturé jour et nuit pendant des 3 mois. Au départ, mon père ne voulait pas contacter la police, il avait même prévenu mon école que j'étais malade et c'est pour cela que je ne viens pas à l'école. Mais quand il a compri que ce n'était sérieux là il à prévenu la police et ils ont finit par me retrouver... Dans un état déplorable, car j'ai été torturé, drogué et je n'étais pas assez nourris... J'ai passé plusieurs semaines à l’hôpital, mais personne s'est dit que j'allais être traumatisé.

Lorsque je suis revenu à la maison, je me suis pas mal renfermé sur moi, surtout avec mes parents. Je ne comprenais pas pourquoi mon père a autant attendu avant d'appeler pour me retrouver. Encore maintenant je lui en veux. Je ne peux pas comprendre qu'un

père puisse faire ça à son enfant. J'ai commencé à sortir tous les week-ends, avec mes amis, à fumer et pas uniquement des cigarettes. J'avais besoin d'oublier ce passage de ma vie qui était douloureux. On peu dire que j'ai commencé vraiment à faire n'importe quoi. J'avais des amis qui s'intéressaient au paranormal, mais comme j'avais assez peur, je refusais de venir avec eux lorsqu'ils allaient à des réunions. Très vite, il y a eu des rumeurs comme quoi, ils étaient des sorciers.

2 ans plus tard, j'ai commencé à m'intéresser aux filles, et aux garçons. Je continuais à faire de la guitare. Avec des amis, nous avions créé un groupe et j'étais aussi le chanteur. Lorsque j'étais chez moi, j'aimais jouer du piano, pour me détendre et essayer de faire comprendre à mes parents que je n'allais pas bien, mais comme d'habitude, ils ne comprenaient pas. Lorsque j'étais chez moi, j'aimais jouer du piano, pour me détendre et essayer de faire comprendre à mes parents que je n'allais pas bien, mais comme d'habitude, ils ne comprenaient pas. Bon, mes parents n'étaient pas d'accord, mais mon instinct me disait d'accepter. Après tout, je ne tenais pas à faire comme mon père, surtout que je n'étais même pas sûr qu'il était heureux, il était froid, souvent absent... Il fallait que je m'éloigne de cette prison dorée qu'était la maison. Mais en même temps ça voulait dire quitté mon groupe, recommencer à zéro et donc me retrouver seul... Une de mes plus grosses craintes. 

Mes débuts ont été difficiles. Mes parents, surtout mon père, à décidé de me tourner le dos, encore une fois, seule ma mère discrètement était de mon côté, même s'il ne voulait pas. Le fils hérité d'un grand homme d'affaires, devenir chanteur pour lui n'était pas envisageable. Je devais suivre la logique qu'il s'était faite, sans réfléchir ni imaginer une autre vie. Mais ça je ne pouvais pas. J'avais besoin de vivre de la musique, faire des concert, écrire des chansons, composer de la musique... Tout le contraire de ce qu'il fait. Mais ça il ne pouvait pas comprendre. Pendant un moment, il m'avait coupé les vivres, mais lorsque ça s'est ébruité, il a été obliger de faire marche arrière, car mon manager faisait tout pour que je n'aie pas de problèmes pour géré ma vie. Bien que j'étais indépendant, j'avais quand même besoin de conseil, d'aide. 

À 20 ans, ma carrière commençait à décollée, mais j'ai dû faire le service militaire, obligatoire en Corée du Sud, et j'ai appris à me battre et à me débrouiller seul, chose que je faisais déjà, mais ça m'a endurcit un peu plus, et j'en garde d'assez bon souvenir, déjà parce que je m'entendais relativement bien avec les autres, lorsque certains n'allaient pas très bien, je chantais et je voyais qu'ils appréciaient. 

Après mon service militaire, j'ai repris ma carrière et lorsque j'avais le temps, je me suis mis sérieusement au sport. J'ai arrêté de faire toutes les bêtises que je faisais, comme par exemple sortir jusqu'au matin, boire et fumée de la drogue sans arrêt... Bon, en même temps, on m'a clairement dit que si je continuais, je risquais de perdre mon contrat, mais on m'a fait confiance et encore maintenant, j'en suis redevable. Cependant, je ne me sentais pas bien et lorsque j'ai été me produire au Japon, j'ai su que c'était là que je devais vivre. Je me sentais bien, donc en rentrant à Séoul, j'ai demandé à mon agent si s'était possible de m'y installer et il a accepter, non sans être sûr que s'était vraiment ce que je voulais et il à prit contacte avec le Japon pour que je puisse avoir un contrat là bas et lorsque tout était en règle j'ai fais ma valise et je suis parti, juste avant j'ai essayé d'appeler mes parents pour les prévenir, mais ils ne m'ont jamais répondus.

Lorsque je suis arrivé au Japon, mon agent, m'a trouvé un grand appartement avec une vue superbe, et j'ai su m’adapte très vite. Bien sûr, je n'étais pas très connu, donc pour moi faire les courses ou sortir s'était plus calme, mais curieusement ça m'a fait du bien. J'ai découvert que j'étais plutôt doué pour faire la cuisine, et ce n'est pas pour me déplaire, moi qui suis gourmand et qui aime bien manger ! En plus, je me suis fait des amis, donc j'adore leur préparer de bons petits plats, pour leur plus grand bonheur. Comme la plus part sont des japonais, ils m'ont fait découvrir la ville, ainsi que tout les petits secrets qu'elle détient. 

Maintenant que ma carrière à bien démarrée ici, au Japon, je peux dire que je suis heureux. J'ai adopté un chat que j'ai appelé Shiro et qui est un vrai peau de colle. Bien sûr que mes parents me manquent, mais je ne tiens pas à ce qu'ils gâchent mon bonheur et mon avenir. Je continue de garder un œil sur l'actualité de Séoul, surtout lorsqu'on parle de mon père, mais je ne peux rien faire d'autres. De temps en temps, j'y retourne pour me ressourcer et revoir mes amis, l'agence qui m'a permis d'arriver là où j'en suis, d'ailleurs encore maintenant, je les remercie d'avoir cru en moi.

Récemment, les informations ont annoncé que les sorciers existent et qu'une chasse aux sorcières étaient en train de se préparer, et même si au départ, je n'y croyais pas, maintenant, je ne peux plus le nier. Mais est ce qu'ils ont raison de faire cette chasse ? Car pour moi, ce sont des humains, et admettons que j'ai tort, l'être humain n'est il pas un monstre ? C'est pour cette raison que je refuse de participer à ce massacre. Je ne tiens pas à avoir les mains sales.